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Orticule - 2016-05-17 - 14:09
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Anges pléonexiques
Dans une économie à forte croissance un juste équilibre aurait été trouvé dans la répartition des profits ? . Depuis des lustres la masse salariale est la principale variable d'ajustement . Le dispositif pervers des ruptures conventionnelles a boosté le phénomène (1.7 M depuis 2008 ) . Il est fondé sur le principe faux de l'égalité des parties au contrat de travail et son succès en dit long sur la souffrance au boulot .La consommation des ménages a triplé entre 1960 et 2007 . Elle continue d'augmenter en yoyo . Pour les seules entreprises du CAC 40 56 Md ont été distribués en dividendes en 2014 . La fraude fiscale représente un manque à gagner de 60 a 80 Md pour la collectivité . Les avancées sociales sont la résultante exclusive des luttes des travailleurs .
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Denis_B - 2016-04-30 - 23:13
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Le problème n'est pas l'accumulation du capital mais son partage.
Je cite ici les propos de Pierre Tarissi (un Business Angel) qui donne une définition de l'entreprise :
"Les entreprises partagent [] les richesses qu’elles produisent entre clients, fournisseurs, actionnaires et salariés."
Cette définition décrit bien ce qu'est une entreprise, en revanche je m'interroge sur les clés de répartition de ce partage, sur leur évolution, sur la façon dont elle sont définies et par qui. Le client paye-t-il le juste prix, le salarié, le fournisseur et l'actionnaire sont-ils justement rémunérés. Dans une économie à forte croissance (demande > offre), l'équilibre est à peu près atteint ; en revanche dans nos économies post-industrielles, où il faut susciter la demande et créer le besoin, les équilibres sont rompus. Le client ne paye plus (ne veux plus payer) le vrai prix (offre > demande). La concurrence entre fournisseurs devient mortelle. Les salariés sont déqualifiés quand ils ne sont pas remplacés par des machines. Seul l'actionnaire reste privilégié parce que c'est lui qui fixe le partage car il a un droit de vie et de mort sur l'entreprise.
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nessbyz - 2016-03-31 - 23:47
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peut etre
Qu' en fait capitalisme = privatisation ? Sinon ke ne vois pas le rapport en un capital privé et un doctrine comme le capitalisme ! Sortir du capitalisme signifierait jeter ses biens ?!? Ça n' a pas de sens en politique on ne peut pas attaquer la propriété privé elle est inalienable depuis des lustres donc je retourne à ma démonstration ci; la capital commun est effectivement ce qui est en train de passer au mains privatrives donc le capitalisme est jsute et uniquement / simplement => la'privatisation / il n' y a pas d' alternative causale à ce langage décrypté ici !
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nessbyz - 2016-03-31 - 14:44
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l' état décapitalise ses capitaux ?
C' est un drole de biais encore ! Pour faire court et s' il on s' en tient ici à une expression cohérente; Pour ne plus avoir de capitaux l' état décapitalise et tout le monde appel ça le capitalisme ?!?wtf !? Si quelqu' un peut m' expliquer comment j' en arrive à de telles absurdités !? Le novlang serait il passé par là ?
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maximuilen tg - 2016-02-24 - 11:37
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ntm
mais pourquoi tant de violence dans ce monde
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Léon65 - 2015-12-10 - 19:11
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Réponse à SHA
Bonjour.
Certes vous pouvez faire remonter les débuts du capitalisme bien plus loin que le XVème siècle.
L'avidité d'argent est très ancienne et ce n'est pas le capitalisme qui l'a fait naître. Toutefois dans l'Antiquité l'usure (intérêt) était tout bonnement condamnée, assimilée à juste raison à du vol. Les différentes religions l'ont également condamnée, mais ont eut vite fait de s'en accommoder...
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SHA - 2015-07-31 - 17:16
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@ Léon65
Bonjour !
J'aurai tellement à dire sur ce sujet, rien que sur la définition proposé ici, et avec laquelle je ne suis pas vraiment d'accord. Mais je me contenterais juste de répondre à Léon65, à ce propos : "je n’arrive pas à croire que l’âme du capitalisme ait jamais été la charité chrétienne".
Cette "incompréhension", vient du fait justement de la définition du terme même, ou plus précisément de son historique. Certains pensent que le capitalisme commence avec l'ère de l'industrialisation, et que celle-ci naît dans le monde protestant. Au début il y avait vraiment cette idée de sortir les gens de la misère en leur donnant du travail. C'est l'époque des Lumières, l'humanisme est très en vogue. Evidemment, certains devaient y voir leur propre intérêt, mais la religion n'apprend-telle pas qu'on y gagne en faisant le "bien".
Et pour moi le "capitalisme" ne commence pas non plus au XVe siècle, mais bien bien avant. Ceux qui se sont intéressés au sujet ont remarqué qu'on le qualifie (marchand, industriel, financier), pourquoi à votre avis ?
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sans pseudo - 2015-03-25 - 18:21
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à L'Anar de service (14-01-2015)
non mais ok cela me semble plus que cliché.
Qui sont ces assoiffés de pouvoir ?
Pas beaucoup de nom que des concepts flous dans son propos.
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sans pseudo - 2015-03-20 - 20:55
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Définition du capitalisme
Le capitalisme est un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et la recherche du profit.
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L'anar de service - 2015-01-14 - 01:26
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Putain , mais révoltez vous !!!
Le capitalisme est déjà mort , le système ne tient que par des chiens de gardes et les pions des gras et gros pleins de frics ainsi que des avides assoiffé de pouvoirs et de pognons. Le capital se fait sur le dos des travailleurs et le profit sur la plus-value qu'ils font sur les pauvres et la misère, le cachant avec soin avec la complicité des sois disant représentants du peuple. Il est grand temps que le peuple reprenne le pouvoir , que cesse la voix perverse des tyrans qui ce sont emparé du moyen de diffuser les idées , que rejaillisse l'air de la liberté, que les idées circulent à nouveau, que notre vie redevienne couleur, que cesse afin la monochromie des idées, qui reflète la noirceur de l'esprit de ceux qui nous gouvernent .Réveillez-vous mes amis, un nouveau jour est en train de se lever, fait de solidarité aussi pour les pauvres, et pas que pour les riches.
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