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Le forum des Toupinautes
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Je rappelle que vous avez la possibilité de participer à la Toupie de différentes manières : Cf. la page Comment contribuer à la Toupie.
Pierre Tourev
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Forum : Le travail contre le capital
(5 messages)
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ness - 2016-11-22 - 04:42
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j' ai resumé là le pouvoir de la machine sur l' homme
D' une maniere plus sobre que terminator , moins littéraire que marx mais tout autant mathematique à mon avis. La projection mentale incontrolée serait aussi un terme synonyme
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ness - 2016-11-22 - 04:33
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il y a un seul point de controverse de l' assurance publique
Elle se situe au niveau de la spéculation algorithmique envers les êtres vivants mobiles. De nombreuses recherches tendent à prouver qu' on enferme par exemple les gens dans un comportementalisme lorsqu'on leur attribut un coût et un risque lié à leurs mouvements or cela ne s' applique qu' aux assurances privées dont les signataires doivent etre responsables. L' éthique et le plein droit voudraient je crois, que les animaux et les jeunes enfants ne soient pas liés à ce type de privation de liberté spéculative étant donné leur incapacité juridique.
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ness - 2016-11-22 - 04:10
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@léon valeur marchande ?
Tout a une valeur ! Mais pourquoi marchande ici ? Que vient faire l' échange au sein de la valorisation économique et écologique. Il faut donner un coût / un prix aux choses assurées , c' est une fonction mathematique qui n' inclus pas du tout l' échange de celles ci. Ralentir encore plus le processus de mondialisation équitable afin de laisser encore plus courir le mondialisme, est ce bien respectueux de l' équilibre ? Ou alors vous nous privreriez sans doute d' assurance en plus de publicités, de justice, de responsabilités, d' interet, de croissance et j' en passe ! La fonction privatrice ne doit s' exercer qu' en terme de peine et non de frein. Les publicités abusives, la justice corrompue, les responsabilités réduites, l' interet inavoué et la décroissance sont répréhenssibles car ce sont des freins et non des peines injonctives dont vous vous assermentez le droit et meme le devoir
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Léon 65 - 2016-11-21 - 13:34
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Capital contre nature.
Étudier Marx, en saisir sa pensée, exige du temps et des efforts. Son œuvre principale, " Le Capital – Livre I ", passe pour être "la bible de la classe ouvrière". Sa lecture n’est pas des plus faciles, sa compréhension n’est pas évidente pour tout le monde (comme la Bible, ou le Coran). Marx, comme beaucoup d’autres, n’est peut-être pas à la portée du premier venu. Bien qu’elle serve de référence à de nombreux économistes, politologues, sociologues ou simples militants, la pensée de Marx reste encore l’objet d’études et suscite de nombreuses controverses. Cependant, pour celui qui cherche à comprendre le Monde et particulièrement quand il souhaite agir sur lui pour le changer... le plus important à étudier, selon moi, c’est l’économie. Plus exactement l’histoire de la pensée économique. Les ouvrages de vulgarisations ne manquent pas, avec bien entendu des références, à Marx, aux "pères du libéralisme", à Keynes et bien d’autres, jusqu’à Aristote. Je pense par exemple à l’excellent " Antimanuel d’économie " en 2 tomes, du regretté Bernard Maris. (cité dans la Toupliographie)
Le Capitalisme, qui est un système politique, économique et social, n’a jamais cessé de changer de forme au cours de sa longue histoire. Tout au long de cette histoire il a façonné nos grilles de lectures du Monde. Il est arrivé aujourd’hui à un stade que certains nomment "néolibéralisme", d’autres "libéralisme mondialisé" , d’autres "capitalisme financier"... Peu importe l’étiquette, mais ce stade est caractérisé par des aberrations aussi énormes les unes que les autres et une profonde déconnexion du réel. Un stade où faute d’argent on ne peut plus rien faire, alors qu’on dispose de millions de paires de bras et des outils... un stade où on ne sait plus quelle est la part des capitaux réels tant ils se mélangent avec les fictifs, virtuels, simples bits informatiques... un stade qui ne perdure que par des artifices, où tout doit avoir une valeur marchande (ex : nos émissions de carbone), où l’on s’obstine à vouloir transformer la merde en or. Selon moi c’est le stade ultime, celui qui marquera la fin du Capitalisme. À nous d’inventer la suite... en tenant évidemment compte de l’écologie et des lois de la nature, ce que Marx n’a pas théorisé mais toutefois entrevu.
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ness - 2016-11-20 - 19:52
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mercis pour le partage
Comme vous vous en doutez , je commente avec un grand interet ce type de regard cadrant; l' escalade des idées présentes là pousse à penser à un rapport irréfuté entre les deux opposés tels qu' énoncés; le capital perso et le privatif ne sont pas loin d' y etre clairement définis, c' est meme tres encourageant et la gauche n' a en effet nié d' aucune maniere ce dont la droite tort les propos en l' espece d' une liberté par le capital à double tranchant ainsi forcément qu' une transgression par les autorités responsables de cet equilibre. Meme si nous déclarons la proprieté privée hors la loi avec utopie, les biens personnels resteront inaliénables. Cette nuance indique aussi le respect de l' intimité / vs? / la facilité de controle; autrement dit une plus grande préhenssion du droit commun qui devrait parfaire l' éducation et tout ce qui en résulte. Une compléxicisation des rapports sociaux à prendre du coté dont chacun se reclame; perso ce sera du coté de la croissance économique et écologique ainsi que du droit aux memes sens communs, les moissoneuses pourrissent les terres fertiles , qu' elles y restent si elles le souhaitent, nous nous occuperons des restanques et du ramassage à la main en comptant bien y retrouver un réel capital commun entretenu et puis aussi un personnel.
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